Au moment où le Sénégal fait face à une série de viols parfois suivis de meurtres sur les femmes, Ousmane Mbengue surgit par un commentaire qui fait état d’une tuerie contre les femmes sénégalaise qui à ses yeux sont la source "de tous les problèmes du Sénégal".
« On devrait diminuer l’effectif des femmes au Sénégal pour espérer éventuellement être un pays développé un jour. On doit en tuer beaucoup même. (…). Car les problèmes viennent des femmes’’, avait-il écrit dans un commentaire sur Facebook. Mais le lieu était mal choisi car l’homme avait posté ce commentaire sur le post d’une amie du nom d’Aissatou Séne, une camarade classe.
Comme une traînée de poudre , l’affaire s’est répandue . Des abonnés de ces réseaux sociaux, outrés par de tels propos, se sont partagés les posts pour s’en offusquer vivement. Ses écrits ont finalement été viraux en un rien de temps. Des associations féminines s’en ont mêlées. L’affaire a pris une autre proportion.
Ayant pris peur, suite à l’ampleur qu’ont eu ses messages et des insultes qui fusaient de partout, Usmaan M’Beng a publié des messages d’excuses pour calmer les auteurs des messages d'indignation qui fusaient de partout. Des mots d’excuses qui sont apparemment tombés dans l’oreille d’un sourd. Puisqu’il a été cueilli, ce jour même par la gendarmerie de Colobane.
Comme si cela ne suffisait pas, l’homme qui appelait à « tuer les femmes » a fait face ce lundi 27 mai 2019 devant la tribunal des flagrants délits à une procureure et à une juge. Deux femmes qui devront décider du son sort.
Ce pendant, madame Sy la représente du ministère public n'y est pas allé par 4 chemins. Après avoir retracé les contours de cette affaire et tenté d'asseoir la culpabilité du mis en cause pour les chefs retenus contre lui, elle a requis 2 ans de prison dont 6 mois ferme. Et quant à la juge madame Khady Ba Ndiéguéne, elle a mis l’affaire en délibéré le 29 mai.
« On devrait diminuer l’effectif des femmes au Sénégal pour espérer éventuellement être un pays développé un jour. On doit en tuer beaucoup même. (…). Car les problèmes viennent des femmes’’, avait-il écrit dans un commentaire sur Facebook. Mais le lieu était mal choisi car l’homme avait posté ce commentaire sur le post d’une amie du nom d’Aissatou Séne, une camarade classe.
Comme une traînée de poudre , l’affaire s’est répandue . Des abonnés de ces réseaux sociaux, outrés par de tels propos, se sont partagés les posts pour s’en offusquer vivement. Ses écrits ont finalement été viraux en un rien de temps. Des associations féminines s’en ont mêlées. L’affaire a pris une autre proportion.
Ayant pris peur, suite à l’ampleur qu’ont eu ses messages et des insultes qui fusaient de partout, Usmaan M’Beng a publié des messages d’excuses pour calmer les auteurs des messages d'indignation qui fusaient de partout. Des mots d’excuses qui sont apparemment tombés dans l’oreille d’un sourd. Puisqu’il a été cueilli, ce jour même par la gendarmerie de Colobane.
Comme si cela ne suffisait pas, l’homme qui appelait à « tuer les femmes » a fait face ce lundi 27 mai 2019 devant la tribunal des flagrants délits à une procureure et à une juge. Deux femmes qui devront décider du son sort.
Ce pendant, madame Sy la représente du ministère public n'y est pas allé par 4 chemins. Après avoir retracé les contours de cette affaire et tenté d'asseoir la culpabilité du mis en cause pour les chefs retenus contre lui, elle a requis 2 ans de prison dont 6 mois ferme. Et quant à la juge madame Khady Ba Ndiéguéne, elle a mis l’affaire en délibéré le 29 mai.
Autres articles
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"
-
Kaolack : un violent incendie ravage le marché Guédj